Personnellement, je suis fier de participer à l'émergence de nouveaux projets grâce à Babeldoor, Babyloan, Bluebees, Ullule, KissKissBankBank, la Nef, Touscoprod... En cette période de l'A-vent, j'attire votre attention sur 3 projets créatifs porteurs de sens et à fort impact. Allez-y, faites-vous un cadeau : libérer votre énergie et aidez les !
# Libérons les bonnes graines ! 75% des variétés de semences de comestibles ont disparu en moins d'un siècle. Soutenons la campagne "Graines de Vie" qui a pour but de ressemer partout l'héritage des générations futures : les variétés anciennes. L'histoire de notre humanité se conjugue avec la libre circulation et reproduction des graines : si nous voulons continuer ce cycle vivant, engageons-nous ! http://www.kisskissbankbank.com/graines-de-vie--3
# Libérons nos énergies ! Bouleversant, drôle et inspirant, le parcours initiatique d’enfants de France, du Japon et du Danemark dans le monde des énergies renouvelables. Après "Nos enfants nous accuseront", "Severn, la voix de nos enfants" et "Tous cobayes ?", Jean-Paul et Béatrice Jaud appellent au soutien des internautes pour leur prochain film : LIBRES ! http://jefinance.libres-lefilm.com
# Libérons nos talents ! Co-finançons une nouvelle version de "les yeux dans les bleux" où notre équipe réunit cette fois 50 jeunes talents extraordinaires, sélectionnés par Ticket for Change, partis à la rencontre à la fois de pionniers de premiers plans et aussi de leur propre intériorité, pour construire la France de demain. http://www.kisskissbankbank.com/fr/projects/ticket-for-change-le-docu
Après des études "classiques" et un début de carrière "conventionnelle", j'évolue depuis 7 ans sur des chemins d'innovations, sociales notamment. Ceux avec qui je suis relié sur Facebook et Twitter connaissent mes bavardages prolixes sur le thème "changer le monde".
Longtemps, je me suis concentré sur des modifications que mes yeux pouvaient voir, essayant de réinventer des systèmes dans le monde visible (social business, monnaie complémentaire, revenu d'existence, ...). A l'oeuvre dans une école buissionnière, faite de voyages, lectures, conférences, ateliers : je rêvais de nouvelles constructions.
Sur ce chemin, les rencontres ont eu un rôle essentiel. Sentir, à travers des hommes et des femmes en marche, comment de merveilleuses idées pouvaient vivre sur des jambes, au-delà des mots. Deux événements ont été, pour moi des points d'inflexion : mes premières participations au Forum Social Mondial (2007) et au Forum Colibris (2009). A travers ces "présences", j'ai pu m'intéresser à des transformations internes, personnelles... comme si le monde suivait des dynamiques quantiques... de réplication de constructions de l'infiniment petit (moi), à l'infiniment grand (nous). "Etre le changement que nous voulons voir pour le monde".
Deux rencontres exceptionnelles ont lieu en ce début de printemps, lié au FSM et aux Colibris ; je ne peux que vous inviter, avec beaucoup de joie, à venir explorer ce que nous y créerons :
En amuse-bouche, mon intervention à TEDxSaintSauveur il y a quelques semaines à Lille (merci à l'équipe, dont Greg et Marc) où je partage mes enseignements après 7 ans de marche sur ces espaces sans chemin :
J'espère pouvoir vous revoir les 22 et 26 mars, en ce début de Printemps 2013. Vos feedbacks sur cette vidéo, directs et sans détours, me seront aussi très précieux.
J’ai eu la chance de participer à
des rassemblements créatifs, festifs et participatifs de toute sorte : des
Barcamps de Digital
Natives aux Forums Ouverts de Cultural Creatives,
des clubs d’Ibiza aux plages de Ko Pangan, des talks TEDx aux activités du
Forum Social Mondial. Tous recelaient de délicieuses pépites, aux gouts
subtiles d’être soi et d’être ensemble, ici et maintenant, accompagnés de
parfums subversifs ouvrant sur un autre monde possible. Pour autant, cette
fois, c’est bien d’un voyage sur une autre planète dont je voudrais vous
parler.
Ce Festival est né en 1986 sur les
plages de San Francisco. Il a grandit, évolué, attiré de plus en plus de
monde : cette année, ce sont 60 000 personnes du monde entier qui se
sont réunies pendant une semaine, dans le désert du Nevada, pour construire une
ville éphémère autour de 10 principes de vie. Vous trouverez des informations
précises sur ce rassemblement détonnant via ce
site ou wikipedia et
d’autres exemples vivants sur notre
album Flickr.
Burning Man est une aventure
kaleidoscopique, joyeuse et inspirante, où j’imagine que nous trouvons ce que
nous avons été prêts à venir chercher. C’est une utopie vivante qui suit les chemins
d’un parcours initiatique, où tout le monde peut être le héro de sa propre
légende. Je ne vous proposerai donc pas ici de synthèse mais vous invite à
y aller en 2011 !
En amuse-bouche, relisons ensemble les
10
principes de Burning Man, à travers 10 anecdotes concrètes que j’ai vécues.
(Merci aux contributeurs de
Wikipedia dont j’ai repris un certain nombre des explications de ces
principes).
Inclusion radicale
Chacun le bienvenu. Il
n’y a aucun préalable à faire partie de la communauté Burning Man.
Ex. : en arrivant à Black Rock city, nous sommes accueillis
par des bénévoles prenant de nos nouvelles, nous demandant d’où l’on vient. Si
c’est la 1ere fois que nous participons au Festival, entant que
« Virgin », nous sommes invités à descendre à de notre voiture et à
nous rouler dans le sable pour que le désert « nous accueille ». Nous
sonnons ensuite une grande cloche en signe de notre venue. Pour trouver sa
place dans le désert (à l’intérieur du grand cadrant qui structure le
campement), le conseil est simple : « balader vous et quand vous
trouvez un endroit qui vous convient, où vous vous sentez chez vous :
c’est que vous êtes arrivés ».
Pratique du don
Burning Man valorise
particulièrement le fait de donner en cadeau, sans escompter recevoir en retour
quelque chose d’une valeur égale. Au lieu de faire usage de monnaie, les
participants sont encouragés à avoir recours à une économie
de don, à un type de potlatch.
Ex. : une
expression consacrée témoigne bien de cet esprit « the playa (l’espace
central, libre pour toutes activités de création) provides ». Ainsi, sans
qu’aucune demande ne soit formulée, tout au long de la journée, on se gratifie
de petits présents : un stick à lèvre fluo est ainsi devenu notre
pendentif des premiers jours.
Décommercialisation
Le festival s’applique à créer un environnement social qui
ne soit en rien tributaire du parrainage commercial ou de la publicité. La
tendance des organisateurs est d'empêcher qu’à l’expérience participative ne
vienne se substituer un système de consommation.
Ex. : pas de
mug, ni teeshirt, ni autre CD collector n’est à acheter sur place. Les
fondateurs, plusieurs fois approchés par des professionnels de l’événementiel,
ont toujours refusé de « licencier » le rassemblement. Les seules
choses qu’on peut aujourd’hui acheter sur place sont des glaçons et du café.
Une fois sur place, la participation à l’ensemble des activités est gratuite.
Pour la 1ère fois, via le site Kickstarter,
la communauté a pu mettre en place un système participatif de financement de performances
artistiques.
Auto-suffisance
radicale
Eu égard à la rudesse de
l’environnement naturel du festival et à sa localisation très écartée, les
participants sont supposés être responsables de leur propre subsistance.
Burning Man encourage les individus à découvrir leurs ressources intérieures, à
s'en servir et à se reposer sur elles.
Ex. : Passer
une semaine dans le désert demande un peu de préparation mais rien de très
sorcier. Quelques conserves, une bonne glacière et beaucoup d’eau (pour 4
jours, nous avions 48 litres d’eau – hors soda – répartis dans 12
gallons) : le tour est joué. A côté de ces biens matériels, c’est aussi
sur ces ressources intérieures qu’ilfaut compter : être prêt à jouer le jeu de l’inattendu et
l’accueillir avec le sourire.
Expression
personnelle et créativité : expression de soi radicale
Les participants sont incités à
s’exprimer de nombreuses manières, à travers différentes formes de création et
de projets d’art. L’expression de soi se nourrit des talents uniques de chaque
individu. Seul l’auteur lui-même, ou le groupe d'auteurs, n’est habilité à
déterminer le contenu d'une œuvre. Celle-ci est ensuite offerte à la
communauté, sans rien attendre en retour. Durant le festival, le port de
vêtements est optionnel ; la pratique du nudisme est courante, mais
demeure minoritaire.
Ex. : Déguisements loufoques, voitures mutantes (mélange entre
Mad Max et le Carnaval de Rio), structures abracadabrantesques : les jours
et les nuits sont des fêtes où chacun apporte sa touche de couleur. On affirme
visiblement un morceau de soi, tout en s’ouvrant à la relation aux autres. Ces
pratiques ne sont pas provocantes mais la plus part du temps joyeuses et
innocentes. Touchant de près aux corps, c’est souvent celles qui marquent le plus
les personnes n’ayant jamais vécu l’intégralité de l’expérience.
Effort en commun
Burning Man est une manifestation
coopérative et collaborative, privilégiant le travail créatif pratiqué en
commun. Les participants sont encouragés à travailler ensemble et à aider leurs
camarades participants.
Ex. : A Black Rock City, il y a des camps organisés
(réunissant plusieurs centaines de personnes) et des espaces libres où les
rencontres se feront par hasard. Dans les deux cas, les relations de voisinage
se font spontanément et rythment les journées. Ainsi, nous partagions souvent
petits-déjeuners et diners avec d’autres Burners à côté de nous.
Responsabilité
civique
La société civile est fortement
appréciée.
Ex. : en plus du respect des 10 principes de Burning Man, le
Festival offre l’opportunité à une centaine d’ateliers de s’organiser chaque
jour. Ils sont totalement autogérés et laissent une grande place à la
discussion et aux partages d’expérience. Nous avons assisté par exemple à 2
cercles passionnants sur « Syntaxe vs Sémentique » et
« Nouvelles architectures monétaires ».
Politique visant à
ne pas laisser de trace :
La communité Burning Man étant
respectueuse de l’environnement, elle s’engage à ne laisser aucune trace
physique de ses activités, à quelque endroit qu’elle se réunisse. Les
participants nettoient les lieux avant leur départ, voire s’appliquent à les
laisser, si possible, dans un état meilleur que celui dans lequel ils les ont
trouvés. Ils s’assurent que leur passage n’aura pas de répercussions à long
terme sur l’environnement.
Ex. : Chaque participant ramène ainsi ses ordures, jusqu’à
l’eau dont il s’est servi pour se laver.
Participation
La communauté Burning Man est basée
sur la participation des burners, dans la conviction que les changements
individuels ou sociaux ne peuvent s’opérer que par la voie d’une participation
profondément personnelle. Les visiteurs du festival sont invités à participer
activement à l'évolution du festival, c’est-à-dire à travailler et jouer. Une
des devises de Burning Man est We make the world real through actions that
open the heart (« c’est par des actions qui ouvrent le coeur que nous
rendons le monde réel »).
Ex. : Ainsi, la fête et la danse ne sont pas que des
exutoires, mais véritablement une manière d’être ensemble, où chacun a
« intégralement » un rôle. Cette phrase que j’aime beaucoup, y
prenait tout son sens « «Ainsi chantait Zarathoustra: je ne croirai
qu'en un Dieu qui sache danser. » F. Nietzsche.
Culture du moment
présent
Dans la culture Burning Man, la
principale pierre de touche fondant le jugement de valeur sera la plupart du
temps l’expérience immédiate, c'est-à-dire sans intermédiaire. Il s’agit
d’être de plain-pied avec soi-même et avec le monde, et par conséquent de
surmonter les barrières s’interposant d’une part entre l’individu et la
reconnaissance de son être intérieur, et d’autre part entre l’individu et la
réalité des personnes qui l’entourent, la participation à la société, et le
contact avec un milieu naturel dépassant les capacités humaines. C’est une
expérience vécue, à laquelle ne saurait se substituer aucune posture
intellectuelle. En conséquence, les participants sont invités à devenir des
éléments constitutifs du festival, de ressentir ce qui vit autour d’eux
et dans la communauté, et d’explorer leur moi profond et leur rapport à
l’événement.
Ex. : Nous
vivions sans horaire, curieux et gourmands de toutes les aventures qui nous
attendaient au coin d’une nouvelle rencontre.
Si votre vie est un jeu dont vous
êtes prêts à questionner les principes, n’ayez pas peur : c’est une expérience
qu’on ne regrette pas.
NB. : toute projection d’un
lieu de débauches, de dépendances et de violences, ne repose que sur la
projection de ses propres peurs ou envies. On vit là-baséquipé des reflexes que l’on avait à l’âge de
7 ans et ils tiennent bons. Ainsi, pour ma part, en 2010, aucun élément de ce
voyage n’a entrainé ni crainte ni honte.
Aujourd'hui, j'ai envie d'avoir envie... de réécrire plus régulièrement sur ce blog. Le temps me manquait ces derniers mois, d'autres modes d'expression (twitter, facebook...) me semblaient plus pratiques. Pas vous ?
J'ai commencé à blogger en 2004 (5ans déjà). Petits pas dans la création de mon identité numérique. Ce blog est né en 2005. Les choses ont bien changé depuis *.
Typepad, la plateforme qui héberge ce blog, a bien évolué aussi. Des intégrations sympathiques avec des réseaux sociaux. La pratique de la syndication-muti-distribution s'affirme. Reprenons ce blog comme un levier de commande pour "surfer sur la toile".
Côté contenu : toujours un peu de moi, en interaction avec les autres et les idées du moment. De beaux souvenirs, de sympathiques discussions et des rencontres inattendues. Tout cela, je l'avais dans ma tête et mon ordinateur. Hic : on m'a volé mon MacBook cette semaine. Une partie reste sur mon harddrive de back-up ; une partie s'est envolé. J'aurais du d'avantage faire confiance au "cloud" : heberger mes informations personnelles dans l'internet. (Un peu comme avec les banques, qui me proposent des systemes plus pratiques et plus surs pour stocker mon argent, j'aurais du confier mes données à des gens sérieux dans les nuages).
Côté rencontre et en parlant de gens sérieux, j'étais invité en tant que bloggeur aux Universités du MEDEF (toujours cette semaine). J'aime bien Philippe Lemoine, patron de Laser et amoureux du futur. La confiance n'interdit pas la prudence, mais permet d'avancer. (Note : j'ai adoré Pierre Rabhi)
Mes observ'actions : 1)Marrant de voir des images en couleur, sur des propos aussi passeistes. 2) Le "cercle de la raison" se réduirait-il à un nombril bedonnant ?
Bref. C'est la rentrée et j'avais envie d'écrire. Pourvu que ca dure. Et vous, de lire, de me le dire ?
Le groupe internet américain
Google a annoncé lundi le lancement d'un fonds capital-risque pour soutenir "les
jeunes compagnies avec un vrai potentiel". Googles Ventures sera chargée de
dénicher et d'aider les "start-up" exceptionnelles à se développer dans le
domaine des logiciels, des technologies propres, des biotechnologies, des soins
médicaux. "Sur le plan économique, les temps sont difficiles mais les bonnes
idées surgissent à tout moment", ont écrit lundi soir Rich Miner et Bill Maris,
associés de Google Ventures sur le site web de Google. "Nous pensons que la
récession actuelle est un moment idéal pour investir dans les compagnies
naissantes qui seront peut-être le prochain géant et nous allons travailler dur
pour les découvrir", ont-ils ajouté."Nos employés, qui sont considérés comme
une importante ressource pour nous aider à évaluer les compagnies et les
secteurs d'investissement, seront au coeur de notre effort".
Merci à Vincent pour l'envoi de cette article. Comme je ne sais/peux pas mettre de comentaire sur l'article des Echos, mes réactions ici à chaud :
c'est top et je me dis que les équipes de Google Ventures vont avoir un travail passionnant
je me dis surtout qu'avec la trésorerie de Google, c'est effectivement malin d'identifier/accompagner l'innovation, à l'extérieur du groupe, avec un dispositif adapté au seeding
avec sa puissance de frappe, Google doit être capable de faire grandir des start-ups extrémement vite... comme personne
c'est un outils de veille et de stimulation interne super
c'est un bon moyen de tester des modèles, à travers des participations, sans avoir besoin de faire des annonces stratégiques qui pourraient avoir des impacts sur le cours de bourse (les zones de test et terrains de jeux sont effectivement très grands... avec le local, le transactionnel, la télé/radio/presse, le socialweb, le mobile avec Android)
c'est aussi un bon moyen de pression sur le marché ; dans des négociations sur des deals plus gros, Google peut toujours mettre dans la balance sa connaissance de tel ou tel secteur, dans lequel il aura investi. Est-ce à dire que certaines de ses dernières acqisitions étaient mal valorisées ?
bref, une autre corde dans l'arc du Moteur pour continuer à s'imposer en "market maker")
je me demande : de combien est doté le fonds ? s'il y a aussi des apports en compétence ? si les participations seront minoritaires ou majoritaires ? quelle politique de "gouvernance" avec les autres actionnaires ?
Un barcamp pour en parler ce week-end.
J'y propose un atelier : exemple concret d'utilisation.
Cas Application - Améliorer la mesure de l'impact social de projets
: ONGs ou entrepreneurs sociaux mobilisent leurs organisations sur la
génération d'impacts sociaux locaux. Nous restons souvent "démunis" de
bons outils, sur le terrain, pour piloter ces résultats. Ne pourrait-on
pas développer une application mobile ouverte et libre pour suivre ces
données. Une idée : utiliser la grille d'évaluation de la Grammeen Bank comme template. Laboratoire possible au Bangladesh. (Olivier2point0, pour danone.communities)
J'ai grandit dans la Station des Arcs . Je n'en parle pas (mais j'y retourne) ici, ici, ici ou là.
J'ai été ravi de participer, grâce au soutien bienveillant d'amis Facebookers, au premier Criterblog. Concept excellent, imaginé par les équipes de Rumeur Publique, permettant de revisiter les sports d'hivers et une station pleine d'innovation en 1 week-end. J'en parlais ici. En quelques mots clefs pour résumer : beaufort, slalom, soleil, rire, émulation, arva, glissade, yak, fondue, copains, bonnet, snow, luge, médaille, quizz, performance, simplicité, viral, twitter, vidéos, détente, jeux, fun, rencontres, à suivre.
En vidéo (c'est une playliste : collection de 7 vidéos) :
A très vite, pour d'autres épisodes. (PS : les Arcs est aussi une super station à vivre l'été !)
"Nous sommes des millions, ils font de nous des pirates". En marge de la discussion sur le projet de loi Création et Internet, un collectif de professionnels d'Internet et des nouvelles technologies, le Réseau des Pirates, publie son manifeste et demande aux parlementaires et aux candidats aux élections européennes de signer le Pacte des Libertés Numériques.
Conférence de presse de Lancement mercredi 11 mars à 18H, à la Cantine : Nous organisons une conférence de presse de lancement, mercredi 11 mars à 18H, à la Cantine, 151 rue Montmartre, Passage des Panoramas.
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